Ne pas devenir ni les plus grands, ni les plus forts ! Ne pas courir derrière une position de leader : aussi étonnant que cela puisse paraître, telle est la stratégie revendiquée par Corser. Qui mise bien davantage sur le travail bien fait – et identifié comme tel – pour asseoir son image et assurer son développement.
« Être connue et reconnue comme l’entreprise de nettoyage la plus qualitative de son territoire. » Nulle prétention ici : juste la volonté d’œuvrer au quotidien dans ce sens, avec application, au profit de chaque chantier sur lequel l’entreprise est missionnée. De quoi ensuite récolter les fruits de son travail via un bouche-à-oreille « qui nous portera auprès d’autres entreprises et clients. »
Mais avant cela, Corser le confirme : mener un travail de qualité s’apparente à un… combat au quotidien.
D’où un plan de bataille qui ne laisse la place à aucune faille.
Écoute des salariés, qualité du recrutement, budgets dédiés à la formation et au matériel, présence régulière chez les clients, forte réactivité en cas d’urgence et de problèmes, à même de challenger les équipes et donc de progresser : rien ne vaut les investissements en amont et la démonstration in situ pour appuyer une (bonne) image. « Et c’est ainsi que nous tablons sur la recommandation de nos clients auprès de leur réseau. C’est un cercle vertueux en fait. Nous n’avons pas besoin de… prospection. »
« Vous avez bien de la chance ! » pourront s’agacer d’autres entreprises activées à gagner des parts de marchés. Ce à quoi Corser répond avec l’élégance d’un… swing, en prenant l’exemple de Tiger Woods. Alors que ce joueur de golf venait de réussir un coup d’anthologie et qu’un journaliste saluait sa « chance », le joueur répondit : « cela n’a rien à voir avec la chance ! Mais plus sûrement avec l’entraînement ! Alors, oui ! Plus je m’entraîne, plus je suis chanceux »
Et l’entraînement chez Corser, c’est le sens de la besogne, au sens noble du terme, sans cesse assurée et vérifiée au profit de chaque chantier / de chaque client.