Actualités

Contrat d'entretien

Lessiver à l’ancienne? « Du balai ! » disent les franges

Étonnamment, et alors même que nous commencions à l’évoquer dans la newsletter d’avril dernier, l’imprégnation reste encore méconnue de bien des syndics ou propriétaires d’immeubles approchés par Corser-Poher. Tout simplement parce qu’aucun opérateur ne leur en a parlé avant ! Alors même qu’elle réduit la pénibilité du travail des agents mais garantit une intervention parfaitement clean dans les communs et escaliers. De haut en bas. Via une solution qui fait toute la différence. De la première à la dernière marche.

 

Devoir monter et descendre des étages, un seau d’eau sale à la main au gré du nettoyage réalisé, pour un résultat plus ou moins abouti au final ? Plus question pour Corser-Poher. Et pour cause…

Prenons un seau + de l’eau + une serpillière ou des franges. Chacun.e sait, pour l’avoir expérimenté chez soi de sa terrasse en extérieur au carrelage de son salon, qu’au bout d’un moment, l’eau devient sale et que – sauf à renouveler très régulièrement cette même eau au robinet de sa cuisine -, même en ayant essoré ses franges, le dernier quart de surface sera inévitablement lavé avec du matériel souillé. Ce que personne n’est vraiment prêt à accepter. « Cela n’est pas du travail de qualité et n’est pas davantage tolérable dès lors qu’on nous demande d’intervenir dans des immeubles, réagissent les équipes de Corser. Cela est tout simplement impensable ! »

 

Équipes bien placées pour évaluer les contraintes avec lesquelles doivent composer les agents en action : des étages à monter non seulement avec un seau lourd à porter (7 l d’eau en moyenne) mais bien souvent dépourvus, qui plus est, du moindre point où vider et renouveler son eau au bout de trois étages nettoyés. C’est ainsi que bien des agents se retrouvent obligés de se rendre au local poubelle, tout en bas, pour chercher un robinet…

 

Autre temps, autres mœurs et nouvelle solution !

Considérons un immeuble de 10 étages avec communs et cage d’escalier à nettoyer. Ici les franges vont être changées tous les deux étages. Comment l’agent procède-t-il ? « Il dispose son jeu de 5 franges autour de son seau adapté et, point essentiel, il verse avec un bec verseur 5 à 6 % d’une solution dans son eau. Cela va suffire pour tout son travail ! Plus de besoin de renouveler l’eau et pas davantage de tremper/essorer les franges. Il n’a plus qu’à les humidifier à chaque fois dans ce mix eau + solution avant de les renouveler. Fini les allers-retours. C’est la technique dite de l’imprégnation. »

 

Fini l’ultime étage ou les communs mal rincés. « Seau à double compartiment, l’un pour les franges propres, l’autre pour les sales, balai à scratch pour les attacher : nous ne cachons pas à nos clients que cela représente un surcoût versus la serpillière basique mais c’est un vrai engagement de notre part. De plus les franges ont une très bonne durée d’utilisation dans le temps et ils sont assurés de locaux irréprochables dans leur aspect. »

 

Irréprochable jusqu’au bout, Corser-Poher s’y active jusqu’à récupérer ensuite auprès de ses agents les franges qui ont servi. Pas question de leur imposer le nettoyage à domicile depuis leur lave-linge personnel. « Ce qui signifie de la logistique et de l’anticipation pour être opérationnel dès qu’une nouvelle intervention de nettoyage se profile, mais c’est un vrai choix là aussi. »