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Travaux spéciaux

« Le danger était de voir revenir les squatteurs. »

800 m2 de bureaux et des garages conséquents… Laissé vide après le départ de son locataire officiel, ce vaste local de près de 2 000 m2, toutes surfaces confondues, réparti sur deux niveaux n’a pas tardé à en trouver de nouveaux : des squatteurs ! Installés des mois durant, ils ont tout désossé/détruit sur place jusqu’à leur expulsion enfin opérée. Moment où Corser-Poher a pu intervenir à la demande expresse du propriétaire, fortement préoccupé par la revente de son bien mais pas dans cet état !

Une zone « sensible » avec des squatteurs qui, même délogés, rôdent encore dans les parages, d’où le risque de les voir se réintroduire dans les lieux : contexte délicat avec lequel les équipes de Corser-Poher ont dû composer en vue de tout nettoyer.

 

« Tout nettoyer, parlons-en ! Tout avait été arraché par les occupants illégaux. Même les faux plafonds et les cloisons avaient été cassés afin d’accéder à tous les réseaux et de récupérer les câbles électriques comme le cuivre pour la revente. Bref ! tout avait été vandalisé. Sans même parler des tas de détritus et autres matières organiques déposés absolument partout. »

 

Un état catastrophique, d’où la panique légitime du propriétaire des lieux. « Il nous a appelés en toute urgence avec un double défi : non seulement tout nettoyer mais tenir un délai très serré. Notre client avait en effet calé une visite avec un repreneur potentiel qui venait de loin. Et pas question de lui ouvrir les portes en l’état. »

Faire bien et faire vite

Deux jours durant avec quatre agents déployés sur place, Corser-Poher va donc relever ce double défi. Faire bien et faire vite. Oui mais comment démontrer son savoir-faire quand on sait que l’eau est coupée, tout comme l’électricité ?

 

La solution passera par des groupes électrogènes et des bidons d’eau amenés sur place afin de pouvoir tout laver. D’où des allers-retours récurrents vers l’agence de Corser-Poher, heureusement assez proche. « Notre équipe n’avait pas d’autres choix. C’est certain que cela complexifie nos interventions tout comme, paradoxalement, la présence sur la zone d’un gardien en vue de la sécuriser : il a fallu lui donner précisément nos horaires de présence et nous y tenir. Le danger était de voir revenir les squatteurs. »

 

Au final, forts d’une grosse benne destinée à tout recueillir du saccage opéré par ces « visiteurs », avant acheminement vers une déchetterie, les agents de Corser-Poher vont une fois encore s’illustrer haut la main : « je crois pouvoir dire que nous avons bluffé notre client. Il nous a confié qu’il ne pensait pas trouver de solution, tant au regard des dégâts occasionnés que de la deadline qu’il nous avait imposée. »