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Contrat d'entretien

Jusqu’au 7e étage : quand Corser-Poher joue de la frange.

Une même et unique résidence mais composée de 10 immeubles avec 600 habitants particulièrement exigeants surtout depuis le travail, tout sauf exemplaire, du précédent prestataire : en acceptant de reprendre ce contrat d’entretien, Corser-Poher a d’emblée mis en place des protocoles très stricts et des techniques de nettoyage qui ont vite fait la différence.

Quand rien ne va plus… Malgré l’insistance des propriétaires pour essayer d’améliorer une situation « critique » qui se dégradait jour après jour, le moment arriva où il leur fallut acter le changement de prestataire « en défaut total« , son contrat arrivant à terme : « que le gestionnaire de syndics nous appelle alors était certes valorisant, d’autant plus qu’il s’agit ici de l’une des copropriétés les plus importantes sur le territoire de Brest. Mais pas question de reprendre ce contrat sans une parfaite évaluation tant du site, quasiment 3 hectares, que des prestations attendues. Dans les faits, il s’agissait d’interventions au quotidien avec, pour commencer, des accès difficiles sur les rues et parfois des interdictions formelles pour y garer tout véhicule. »

 

La bonne volonté aidant, des arrangements seront finalement trouvés « Mais attention ! Nous n’avions pas droit à l’erreur. Dans cette résidence de haut standing, les propriétaires avaient des exigences très fermes. Une fois les points difficiles identifiés, nous avons d’emblée mis sur place un protocole très strict sur plusieurs semaines. De quoi s’assurer d’une bonne communication avec nos référents sur place et voir ce qui devait être amélioré très vite. »

 

Une fois ce flux de communication et d’information bien établi, la confiance prenant de part et d’autre, les premiers défis ne vont pas tarder à s’imposer. Comme nettoyer des immeubles de 7 étages quand vous ne disposez que d’un seul point d’eau au rez-de-chaussée ? Finir tout en haut avec une eau inévitablement sale ? Pas question pour Corser-Poher, « Ça serait un travail de cochon ! Nous avons déployé un protocole bien particulier. Notre solution a consisté à utiliser des franges microfibres interchangeables. C’est un peu la serpillière nouvelle génération : les franges sont imprégnées d’une solution dégraissante que nos agents renouvellent tous les deux étages, sans avoir plus besoin d’eau. Les copropriétaires ont jugé le résultat superbe. Ils voyaient bien que par le passé, le dernier étage n’était jamais clean. »