Actualités

Travailler autrement

Corser a sauté le pas… pour la perche

Télescopiques comme une canne à pêche et faites du même matériau léger et résistant, les perches en carbone dont s’est équipée Corser permettent le nettoyage de surfaces hautes jusqu’à 20 mètres. De quoi reléguer la nacelle au rang d’accessoires vintage ?

 

Concessions automobiles, bardages ou encore nombreuses interventions sur la vitrerie des bâtiments : chez Corser, la dizaine de perches en carbone est en activité tous les jours de la semaine. Un mode d’intervention autrement plus agile que la nacelle, rendu possible depuis moins de sept ans via la « démocratisation » du carbone sur le marché. Premier point pertinent, les agents peuvent depuis le sol atteindre des surfaces très hautes contre… 6 mètres maximum auparavant. Comment être assurés que ses vitres seront tout aussi bien nettoyées que par des agents suspendus ? La réponse est simple : du bas jusqu’en haut, le système est couplé, à la manière d’un osmoseur portable, avec un purificateur d’eau. L’eau ne laisse ainsi aucune trace blanche. Exactement comme lors d’un passage en station de lavage automatique, votre voiture est « finie » avec une pulvérisation de gouttelettes.

Second point : plus léger que l’aluminium, le carbone permet non seulement plus d’agilité mais aussi – point de vigilance chez Corser – de faire baisser les TMS de ses agents munis de perches.

 

Alors ? De quoi enterrer la nacelle ? Elle reste nécessaire pour atteindre des endroits très difficiles ou encore plus hauts d’accès mais elle ne représente plus que 20 % en vitrerie par exemple.